Archipel Kan Ikul

Jack pencha la tête sur la côté, ayant largement repris ses esprits, et tout en repoussant aisément les attaques de Lindenberg, l'Homme-Etouraptor répondît sombrement et sérieusement à ce dernier :

-Lindenberg... Sais-tu au moins ce que nous faisons actuellement ? Un combat, oui, un vrai de vrai. Mais les gens ont tendance à oublier ce que ces combat, au sein de batailles sous le seuil d'une guerre, visent à obtenir : Un combat, c'est une tentative pour tuer ou faire souffrir son adversaire. Dans certains cas, l'un des combattants se bat pour autre chose, comme la protection d'un proche, mais dans tous les cas, dans un vrai combat, il y a au moins l'une des factions qui cherche à vaincre ses adversaires, que ce soit par la douleur physique, la douleur psychologique ou même la mort. Et dans cette optique, tous les moyens sont bons, même les plus fourbes. Certains ont tendance à l'oublier, prenant les combats, et donc la guerre à la légère... Mais voilà, la vérité, c'est que pour gagner, on doit faire souffrir l'autre comme on le peut, et être sans pitié pour vaincre. Et c'est pour cette raison que je me bats pour que ces combats n'aient plus lieu. Bien que ce soit soigner le mal par le mal, je sais qu'au bout du compte la paix arrivera, et je l'atteindrais, quelqu’en soit les sacrifices. Tes habits, à côté, ou même ta santé mentale, n'ont aucun intérêt à mes yeux... Technique de la Lance des Cieux ! Attaque !

Jack se mît en position de garde, sa lance pointée vers Lindenberg prenant une couleur rouge sang, puis la lame s'étendit violemment et fonça de façon rectiligne sur l'Homme-Alakazam, le vrai bien entendu, avec une vitesse et une concentration de puissance terrifiantes.

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Océane plissa les yeux et esquiva en tournoyant sur elle-même, se décalant sur la gauche, puis pointa de nouveau son pistolet à eau vers la tête d'Enteï, mais à bout portant cette fois-ci, la pointe touchant presque la tempe du Légendaire.

-Océane : Effectivement... Cependant son efficacité contre moi reste à prouver ♪

Et sur ces mots, la femme appuya sur la gâchette.

Eldor regarda tranquillement son adversaire. Il sortit lentement son katana, qui s'embrasa. Le Légendaire pencha la tête sur le côté, l'air visiblement interloqué.

-Tu allumes ta lame pour avoir de la lumière ? Ou t'as froid ?

Pour toute réponse, l'Homme Démolosse fonça vers le jeune homme aux lunettes d'aviateur, puis il tenta de le transpercer. Mais au dernier moment, le Légendaire disparu.

-Pas cool. T'aurais pu me blesser comme ça, tu sais ? Hahaha... Au fait, je crois que j'me suis pas présenter.

Eldor se retourna rapidement, écarquillant les yeux. Son adversaire se trouvait derrière lui. Une telle rapiditée... Et il ne s'agissait pas d'une téléportation...C'était insensé. Il n'avais pas pu parcourir cette distance en moins de deux secondes.

-Je suis le quatrième Légendaire. Lugia.

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L'Eclaireur de Kurai ainsi que le jeune homme Noctali se posèrent alors à quelques mètres de Persephone. L'Homme Noctali regarda longuement la femme Givrali, après l'avoir entendu hurler une phrase si stupide. Il était partagé entre la joie de la revoir enfin et l'hésitation après avoir discuté avec Lindenberg et Kailla qui lui avais affirmé catégoriquement que Glacia n'était plus la même. Il dit finalement, d'une voix faible :

-Glacia... C'est bien toi ?

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Lindenbergh esquiva en se téléportant rapidement.

-Je vois. Il me semble que vous n'ayez point tout à fait tort. Il serais peut-être temps de passer un peu aux choses sérieuses et de ne point tenter à esquiver le combat.

Il y eu un immense flash blanc et aveuglant puis, venues par la téléportation, de nombreuses cuillères apparurent, toutes entourant d'une légère aura psychique, lévitant dans les airs. Tous les reflets de Lindenbergh disparurent. Il ne restait plus que l'original, qui saisit huit cuillères, plaçant chacune d'entre elle entre ses doigts. Son aura psychique se fît alors encore plus puissant. Il lança les cuillères vers Jack, et soudainement, chaque cuillère lévitant fonça vers l'Homme Etouraptor.

Eldor observa son adversaire. Celui-ci souriait tranquillement. Ses yeux pétillaient de malice. Il s'étira, puis il déclara :

-J'aime pas trop combattre. La dernière fois que j'ai combattu j'ai détruit toute une archipel, tu vois...

Eldor haussa un sourcil. Du bluff ? Il allait répliquer quelque chose lorsque Lugia disparut l'espace d'une micro-seconde. Il sentit le coude du Légendaire se poser sur Eldor. L'homme Démolosse paraissait vraiment petit à côté du Légendaire, mais ce qui lui préoccupait le plus c'était sa proximité. Il avait parcouru plusieurs mètres en moins d'une seconde cette fois-ci, et il avait touché l'ancien chef des Dacotas avec une facilité déconcertante. Lui qui était sur de n'avoir aucune ouverture...

-Alalah... Je suis bien embêté, tu sais. Ma maid personnelle à été tuer... Rayquaza... alors plus personne ne me fais de thé...

Eldor tenta alors de toucher la nuque de Lugia avec son index et son majeur afin de l'immobiliser, mais le Légendaire disparut puis se retrouva juste face à l'Homme Démolosse.

-Hm... J'me demande si tu ferais une bonne maid...

Eldor tenta à nouveau un coup d'épée, que Lugia arrêta seulement avec son index. L'homme Démolosse écarquilla à nouveau les yeux. C'était impossible ! L'homme aux lunettes d'aviateur disparut à nouveau. En apercevant juste légèrement Lugia, il sentit un coup de poing dans son ventre. Le chef des rebelles recula légèrement sous le choc, lorsqu'il sentît un coup de pied puissant dans ses côtes. Eldor toussa, crachant un filet de sang. Il vît le Légendaire, qui se trouvait à plusieurs mètres maintenant.

-Laisse toi donc mourir, tu n'as pas à agiter ton épée ainsi. De toutes manière, c'est la fin pour vous. Vous allez tous mourir ici, en tapissant le sable de votre sang.

Eldor voulu répliquer quelque chose, lorsqu'il sentit un autre coup de pied dans ses côtes. Il écarquilla à nouveau les yeux. Il n'avait pas vu son adversaire bougé...

-Vous n'avez aucune force... Et aucune raison de vous battre.

Le Légendaire s'apprêta à donner un puissant coup de poing dans le visage d'Eldor, lorsque l'Homme Démolosse planta son épée dans le sable pour prendre appui et qu'il attrappa Lugia au poignet, avec assez de force pour arrêter le coup. L'homme aux yeux rouge ricana. Un ricanement dément, à moitié étouffé. Il releva sa tête, dévoilant un sinistre sourire. Le Légendaire sembla apeuré l'espace d'un instant, puis il retrouva son sourire amusé.

-Sans force, hm...

Eldor éclata de rire, puis il se ressaisit et déclara :

-C'est la chose la plus drôle que j'ai entendu de toute ma vie ! Tu penses que mes soldats sont faibles ? Que les Légendaires sont d'une force surhumaine, c'est ça ?! Laisse moi te prouver le contraire !

L'homme aux allures de démon tira sur le poignet de Lugia, le faisant avancer de deux trois pas.

-Dans nos rangs nous avons Kailla, qui est une représentation même de la force brute et qui ne s'arrêteras jamais lors d'un combat ; Lindenberg qui a passé sa vie à apprendre à ses élèves comment éliminer les Légendaires ; Elena qui a une haine féroce envers les Légendaires ; Océane qui est l’illusionniste la plus talentueuse que le monde ai connu ; Jenna qui n'arrêteras jamais de se battre tant qu'elle n'auras pas retrouver la mémoire ; Jean-Martin, un excellent stratège... Tu veux que j'continue ?

Lugia tenta de débloquer son poignet, mais Eldor le tenait fermement, enfonçant ses ongles dans la chair du Légendaire. L'Homme Démolosse souleva son épée et pointa la lame contre le coup du Légendaire, qui tentait toujours de se libérer de la poigne féroce d'Eldor.

-Alors c'est juste ça, le quatrième Légendaire ? Une rapidité époustouflante mais si on l'immobilise...

Il bougea son katana, créant un léger filet de sang sur le Légendaire.

-Il devient extrêmement vulnérable... Désoler. Tu n'aurais pas du insulter mes soldats.

Eldor tenta de transpercer la gorge du Légendaire mais, au dernier moment, le sourire de clui-ci se fît plus grand, et il se défît avec une facilité déconcertante de la poigne d'Eldor puis disparut pour se retrouver derrière l'ancien chef des Dacotas.

-Désoler. J'arrête de faire semblant d'être en position de faiblesse.

Puis le Légendaire frappa à nouveau Eldor à plein visage.

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Lindenbergh fronça les sourcils. En un instant, les cuillères redevinrent comme neuf et elles se mîrent à léviter, formant un grand cercle autour de toute l'île où lui et Jack se trouvaient. Au moment où il aurait pu être touché, l'aura psychique autour du professeur disparut. Chaque cuillère eu un léger tremblement et un lien psychique se mît à relier très rapidement les couverts. Une immense sphère psychique, semblable à l'aura de l'Homme Alakazam, se déploya alors, englobant toute l'île. Chaque attaque de Jack s'arrêta alors, contrôlé par la pression psychique. Les yeux de l'homme étaient devenu d'un blanc étincelant. Les attaques de l'Homme Etouraptor, d'abord paralysé par les pouvoirs psychique, commencèrent à disparaître peu à peu, se dissoudant dans les airs.

-Désoler Jack, mais ces cuillères décuplent chacune mes pouvoirs. Et tu ne pourras pas les détruire.

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Kurai eu un léger sourire. Son corps ainsi que celui de l'Eclaireur qui l'avait amener ici se changèrent en ténèbres. La matière noire voleta et passa derrière Persephone. Plusieurs mètres derrière la femme Givrali se trouvait le vrai Kurai. Les ténèbres prirent la forme d'une balle de pistolet que le jeune homme remît dans un de ses deux revolvers.

-Hm. Alors tu as vraiment changé. J'ai bien fait d'utilisé une illusion, juste au cas où.

Il pointa son second revolver vers la jeune femme.

-Je ne sais pas ce qui t'est arrivé, mais... Je vais te faire revenir à la normale, Glacia.

Et il appuya deux fois sur la gachette, faisant exprès de viser à côter de la jeune femme.

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Au dernier moment, Entei recula vivement et mît son épée entre le jet d'eau et son corps, avec une rapidité étonnante. L'épée émit une vague de chaleur qui transforma rapidement l'eau en vapeur.

-Je disperserais ou évaporerais chaque goutte d'eau que tu utiliseras.

Le Légendaire prît son épée à une main puis il enleva deux grenades, les dégoupilla et les lança vers la femme Hyporoi. Les deux grenades explosèrent, faisant jaillir de la fumée un peu partout, puis le Légendaire lança en l'air, vers son adversaire, trois autres grenades, explosives cette fois-ci.

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Crefadet esquiva tant bien que mal la plupart des dracochocs.

-Quel volonté ! Tu es une toute autre personne ! Battons nous jusqu'à ce que l'une d'entre nous n'ai plus aucune volontés !

La fillette fonça alors vers Kailla et bondit vers elle, sautant vers son visage et tentant de lui asséner un coup de poing à cet endroit.

Jack se pinça la lèvre inférieure en voyant ses illusions et ses attaques réduites au néant, et le dernier et vrai Jack se posa au sol avec un air sombre. Tout autour de lui, il sentait la puissante pression de l'aura psychique de Lindenberg. Une énergie intense, méprisable, donnant l'impression que tu n'étais plus qu'un simple poupée en bois sans aucun contrôle sur soi-même. L'Homme-Etouraptor fronça les sourcils, impressionné. Il ignorait que Lindenberg possédait une technique aussi redoutable. Vraiment impressionnant. Jack tendît sa lance en avant, dans le vide, en direction de l'Homme-Alakazam, et lentement, suavement, il lâcha à son adversaire :

-Tu n'as pas à être désolé Lindenberg... En vérité... C'est à moi de m'excuser... Désolé Lindenberg...

Jack inspira, resserra sa main sur sa lance qui commença à briller, et plissa les yeux avant de lâcher :

-... De t'avoir fait croire ne serait-ce qu'un instant que tu avais pris le dessus.

Sa lance se mît soudainement à vibrer, et aspira toute l'énergie psychique présente autour de Jack, avant de la condenser, la lance gagnant en taille et en puissance. Lorsque l'espace était vidé, soit de l'aura psychique s'approchait et était aspiré, soit jack se déplaçait de quelques pas, afin de stocker une grande quantité d'énergie.

-Jack : Bien que ce soit un cas spécial, ton psychisme équivaut à de la magie. La magie prend sa source dans l'énergie. Ainsi, comme tout pouvoir, tes pouvoirs psychiques prennent leur forme grâce à leur énergie, ici ton aura psychique. Il est donc normal que comme pour toute énergie, ma lance soit capable d'aspirer cette pression psychique qui nous entoure. Essayons un peu. Aspiration des Cieux !

Sur ces mots, l'Homme-Etouraptor brandît sa lance dans les airs, et en utilisant sa propre énergie, Jack ramena à lui toute la pression psychique contenu dans la sphère, la stockant ensuite dans sa lance. Celle-ci était devenu un immense amas d'énergie devenu vingt fois plus grand que Jack, mais qu'il contenait comme il pouvait dans ses mains. Le traître lâcha finalement :

-Encore une fois désolé Lindenberg. Explosion d'énergie !

Sur ces mots, Jack planta sa lance dans le sol, et sur toute l'île, il y eut une immense et violente explosion d'énergie incontrôlable.

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Aveuglée par la poussière et la fumée, Océane regarda tout autour d'elle pour localiser ses ennemis, puis vît finalement au-dessus d'elle trois grenades arrivaient à son niveau. La femme Hyporoi grimaça et propulsa un jet d'eau courbé pour détruire les grenades. Cependant, juste deux d'entre elles explosèrent dans les airs, et la troisième tomba à côté d'Océane, qui écarquilla les yeux et sauta sur le côté le plus vite possible tandis que le projectile explosait à son niveau. Au bout d'une vingtaine de secondes, la poussière et la fumée s'évapora, et on put voir Océane au sol crachotait à cause de la fumée, son bras gauche à moitié brûlé et le bout de ses cheveux légèrement crâmés. L'illusionniste toussa à nouveau et fixa son adversaire. Comme elle le pensait, ce combat n'était pas du tout à son avantage. Ses illusions étaient difficiles à mettre en place dans ce milieu aride, elle n'avait pas beaucoup d'eau à sa disposition, son adversaire était plus axé force que stratégie et malgré sa tentative de provocation, était très concentré dans son combat. Il fallait qu'elle passe directement aux choses sérieuses sinon quoi elle y passerait. Elle ne pouvait pas mourir maintenant, pas après une telle dispute avec sa meilleure amie. La femme Hyporoi se releva et tendît sa main gauche vers Enteï, l'air sérieuse :

-Dans ce cas-là, je t'aurais par les nerfs. Le miroir des Ames !

Un miroir se dressa alors devant Enteï, un miroir où il se vît avec ses deux frères à ses côtés.

Leach haussa un sourcil. Est-ce qu'il venait juste de se faire insulter par une gamine ? Il secoua la tête en signe de négation. En temps normal, il n'aurait pas perdu de temps pour une fillette, mais elle s'était auto-proclamé "Être des émotions".

-Hm... Être des émotions, hein ? Et pourquoi une petite fille se donnerais ce titre ?

La fille eu un léger sourire, emplie de malice. L'espace d'un instant, l'Homme Roucarnage eu l'impression d'être face à une personne dangereuse. La Légendaire eu un léger rire, qui aurais pu sonner comme le glas. Ses yeux pétillaient de malice.

-QUESTION ! Quel est votre plus grande phobie ?

Le jeune homme haussa un sourcil. Rien ne se passa pendant quelques secondes, et il s'apprêtait à répondre par sarcasme à la Légendaire, lorsqu'il sentit une légère vibration dans le sol. Leach commença à voir flou. Il ferma les yeux puis, lorsqu'il les rouvrit, tout était noir autour de lui. Il écarquilla les yeux et entendu à nouveau le rire de Crefollet.

-QUESTION. Quoi, peur du noir, sérieusement ? AFFIRMATION. Tellement pathétique, Leach !

Leach commença à paniquer légèrement, mais ne céda pas à la provocation. Il tenta de garder son calme, lorsqu'il vît des formes bougé dans les ténèbres. Une dizaine de poupées de porcelaines qui tenaient des paires de ciseaux avançaient peu à peu vers l'Homme Roucarnage. C'était la chose qu'il pouvait voir dans l'obscurité. La fillette rît pour la troisième fois.

-AFFIRMATION ! Tes phobies sont risibles.

Tout en entendant Crefollet partir dans un fou rire cruel, l'Homme Roucarnage sortit son épée. Les poupées avançaient lentement vers lui, faisant bouger leurs paires de ciseaux. Le jeune homme prît son courage à deux mains et fonça vers les poupées, les brisant une à une avec son épée et se retrouvant à nouveau seul dans le noir, jusqu'à ce que d'autres poupées arrivèrent, plus grande et plus nombreuses.

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Crefollet eu un léger sourire amusé en voyant l'Homme Roucarnage face à elle, qui criait et frappait dans le vide. Le sourire cruel de la Légendaire se fît encore plus grand. Voir cet idiot apeuré par une illusion extrêmement basique l'amusait au plus haut point. C'est ce qu'elle pensait, jusqu'à ce que Leach s'arrêta. Elle fronça les sourcils. L'Homme Roucarnage déploya alors ses ailes et décolla de quelques mètres, puis il se mît à battre des ailes avec force et rapidité, créant un vent puissant qui fît tomber l'Être des Emotions qui, déconcertée, stoppa l'Illusion sans le vouloir. Elle se mordilla la lèvre en voyant Leach reprendre ses esprits. Celui-ci pointa son épée vers la fillette, puis il déclara :

-Faire ça fût ta plus grande erreur, Crefollet. C'est la fin pour toi.

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Crehelf eu un léger sourire. Malin.

-Tu es vraiment une personne qui représente bien mon élément, Jean-Martin. Le savoir, l'intelligence, la connaissance nous représente.

Il s'abaissa et pausa sa paume au sol. Des lames d'énergies surgirent alors du sol, tentant de transpercer Jean-Martin. Des lames surgirent des bras et des jambes de l'Être du Savoir.

-Quel dommage que deux êtres aussi semblable doivent se combattre...

Puis l'homme de petite taille fonça vers l'Homme Noarfang, tentant de le transpercer, le prenant en étau entre les lames du sol et les lames sur le corps du Légendaire

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Entei écarquilla les yeux en voyant ses deux frères. Il commença à trembler. Il avait quelque chose d'important à dire à ses frères... Mais il voulait être sur de quelque chose avant ça.

-S...Suicune, Raikou. C'est vous ?

Il fronça les sourcils, puis il montra Océane du doigt.

-Mais on m'avais dis que cette salope vous avais buté !