Killeurboy

-Bien entendu. Il y aura aussi un certain Wes', dont on ne connaît pas le nom entier.
Un homme sous le pseudo de Kév' et son jumeau sous le pseudonyme de Fu .
Ah, oui, j'allais oublié... J'ai aussi reçu la carte d'un homme nommé "l'écrivain à la plume de phoenix" . Il compte nous aider, mais ne veut pas faire partie de la bande.
Ce n'est peut-être pas un criminel...

Il y eut soudain un étrange bruit. Un hélicoptère se posa devant l'habitation. Un homme en sortit. Cette personne se nommait Pyro. Il frappa à la porte en silence.

-Le mot de passe ?
Dit Liouliou, après s'être levé et s'être plaqué contre la porte.

-Tuer ou être tué. J'ai des informateurs.

L'homme ouvrît la porte. Il dévisagea la personne , lui montra une chaise, s'installa lui-même avant de dire :
-Je ne me souviens pas vous avoir invité.

-Je ne suis ni flic, ni malfaiteur.
J'ai sorti de ma poche une autre copie de la carte que Liouliou avait reçu.

-Si vous n'êtes pas malfaiteur, vous devez quand même légèrement magouiller pour ne pas vouloir la prolifération de ces nouveaux robots, non ?

-Effectivement, j'en élimine de temps à autre. J'aide des bandits sans en être un. Mon nom de code est Pyro. Et j'apporte avec moi la toute dernière technologie que la police n'a pas pensé à créer.
J'ai ouvert une valisette et j'en ai sorti un cylindre métallique. Je l'ai enfilé autour de mon bras. Il avait parfaitement la bonne taille. J'ai bondi en arrière, fait un triple saut-périlleux arrière avant de donner des milliers de coups de pieds sur un mur de l'habitation à la vitesse de la lumière. La tapisserie s'est décollée, laissant apparaître un robot portant le symbole de la police qui se cachait dans ce mur depuis plusieurs jours. J'ai carrément transformé le robot en tas de ferraille avec quelques coups de poing.

-... C'est un détecteur de robots, votre machin ?

-Non. Le détecteur, c'est moi. Les robots ont tous une odeur, font tous un certain bruit, ont tous quelque chose de particulier si ils se camouflent. Ici, vous auriez pu remarquer que ça sentait fortement l'huile, qu'un léger crissement venait du mur et qu'en regardant le mur de plus près, il y avait un trou dans la tapisserie. Cette machine sert à autre chose. Ma vitesse d'exécution phénoménale n'a rien à voir avec non plus. Si vous souhaitez comprendre, suivez-moi dehors. A moins que vous souhaitiez que cette magnifique habitation ne se retrouve démollie...